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Reflexion

REFLEXION


REFLEXION SUR LE PROBLEME DE LA SURVIE DE NOTRE ASSOCIATION
ET SUGGESTIONS POUR SON MAINTIEN

Notre association familiale, créée en 1893, a-t-elle encore, tenu compte de son expansion démographique et de la dispersion géographique de ses membres, la possibilité et une raison d'être maintenue?

Le problème est et reste posé depuis de nombreuses années et il nous faut constater que bien peu de réponses, jusqu'ici, se soient manifestées dans un sens ou dans un autre!

Quel est ce problème qui nous est posé aujourd'hui?

Tout simplement celui-ci: Au départ, 28 foyers comprenant environ 140 personnes – En 1960: 324 foyers représentant 1500 personnes – A l'heure actuelle, prés de 1000 foyers et peut être plus de 4000 personnes.

A l'origine de la mise sur pied de cette association, la plupart de ses membres étaient dans un rayon géographique ne dépassant pas une quarantaine de kilomètres. Aujourd'hui leurs descendants se situent dans quelques 75 départements français et une quinzaine de pays étrangers.

N'est-ce pas déjà un miracle qu'elle ait pu se maintenir et se développer telle que nous la connaissons maintenant? Ou ne serait-ce pas tout simplement le fait qu'elle ait pu susciter, parmi ses membres, quelques convaincus, dévoués et bénévole, qui n'ont ménagé ni leur temps, ni leurs activités, pour ainsi "la porter a bout de bras" pourrait-on dire.

C'est certainement là le sentiment de tous et nous nous devons d'essayer de parer à ce problème.

Alors: Que faire?

Première hypothèse: Nous baissons les bras et nous abandonnons! Un dernier "Bonjour les cousins" nous fait part, avec les regrets de tous, de la dissolution de notre association; les documents la concernant seraient déposés à un service d'archives quelconque. Cela constituerait une fin comme une autre et beaucoup d'entre nous, jusqu'à extinction, en conserveraient un souvenir nostalgique. Ce qui n'exclut pas que certains de nos descendants, dans les générations suivantes, nous reprochent de ne pas leur avoir transmis un tel patrimoine si patiemment établi et conservé, jusqu'ici, par ceux qui nous ont précédé.

Deuxième hypothèse: Nous relevons le défi et nous décidons de continuer! Mais comment?

Nous décentralisons – Ce qui ne veut pas dire que nous nous dispersons. Nous nous réorganisons en créant des groupes ou sections (à déterminer au niveau de telle ou telle génération, la même pour tous les groupes, autant que possible).